De l'importance du questionnement et des biais de confirmation
T I M E C O D E S
01:03 : Thibault, un jeune homme curieux
03:02 : L’attrait de la spiritualité dans une pratique professionnelle de soin
13:14 : L’expérience personnelle comme socle de la croyance
20:51 : La spiritualité New Age : les croyances, les conséquences
29:16 : L’attrait pour la spiritualité dans la vie privée
34:49 : L’ostéopathie : En quoi permet-elle l’appel à la spiritualité ?
43:04 : La sortie de croyance : Pourquoi et comment ?
56:34 : La minute stupide
je comprends que l’intention ici n’est pas de « descendre » l’ostéopathie, mais de témoigner de ses dérives possibles (avérées dans le cas de ‘Thibault’) vers les spiritualités New Age au pluriel bien singulier ! « Sincère » vs « Honnête », de quoi réfléchir à ce qui déclenche émotionnellement la baisse de garde de notre esprit critique : « ta sincérité me touche… ton honnêteté provoque la mienne »
réponse à votre commentaire sur YouTube de Méta de Choc (l’auteure) _ « La plupart des gens sont sincères dans ce qu’ils pensent et disent. Cela ne veut pas forcément dire qu’ils sont honnêtes vis-à-vis d’eux-mêmes, donc des autres au final.
Croire et vouloir croire, c’est souvent se rendre aveugle à des faits qui contredisent cette croyance ; c’est souvent ne pas avoir l’honnêteté de se dire qu’on s’est trompé.e.
Lorsque la dissonance cognitive (friction mentale entre ce que l’on croit et la réalité) est trop forte, lorsque le conflit intérieur n’est plus supportable, nous sommes mis face à un choix conscient : justifier à tout prix une croyance et fuir la réalité, ou bien la revisiter de manière critique. »